Silence...
Enlève les mots comme on enlève un vêtement, qu'il ne reste que la caresse du mouvement qui dépose sa nudité dans la tienne, en silence. Et ce silence qui court sur ma peau, rafraîchit l'instant et le consomme, Et ce Silence qui coule sous ma peau, arrête le temps et me consume… Jusqu’à ce qu’il ne reste rien et que les bras s’ouvrent d’eux-mêmes pour accueillir ce feu sans flamme qui étanche les soifs. Et dans ce mouvement où le corps libre se creuse, quelque chose se lève d